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Géraldine Ventre : Il s'agit d'une altération spécifique et significative de la lecture qui touche 6 à 8 % de la population française. Elle se classe en trois catégories.
Le fonctionnement est assez simple. La lampe Lili For Life émet des flashs lumineux qui améliorent la perception de l’écrit des personnes dyslexiques. Avec Lili, les mots paraissent moins flous et les lettres sont moins collées. Ces flashs sont invisibles à l'œil nu. La lampe réduit la fatigue visuelle causée par la concentration très importante mobilisée par les personnes dyslexiques. Ce gain en énergie leur permet de lire plus longtemps. Nous avons reçu de très nombreux retours encourageants d’enfants comme d’adultes qui ont vu leur quotidien et leurs habitudes changer grâce à Lili. On a d’ailleurs recensé un effet positif immédiat chez 52 % des personnes ayant testé la lampe.
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Notre lampe est très discrète et possède une autonomie de 6 heures. Elle est petite et légère (240 grammes) pour suivre ses propriétaires partout. Elle est aussi entièrement personnalisable via l'application, en moins de 10 minutes. Son design est épuré et elle ne possède qu'un seul bouton. C'est un aspect primordial pour les personnes dyslexiques qui ont, pour beaucoup, tendance à être facilement distraites. Enfin, son utilisation a un véritable impact sur l'écriture des personnes qui l'utilisent. Au fil du temps, le geste graphique se précise et leur demande moins d'effort.
La vocation première de Lili n'est pas de guérir la dyslexie, mais d'améliorer le quotidien des personnes qui en sont atteintes. On note toutefois un gain de confort de lecture prolongé, même lorsqu'elles n'utilisent pas la lampe. Pour l'heure, nous manquons néanmoins de recul sur ces effets pour pouvoir les mesurer réellement.
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Des chercheurs en physique des lasers, Albert Le Floch et Guy Ropars, sont tombés dessus par hasard. Ils ont été étonnés par les résultats de leurs recherches et ont continué à creuser jusqu’à mettre au point un prototype de lampe. Au départ, ce n’était pas du tout l’objet de leurs recherches. C’est d’ailleurs le cas de beaucoup de belles découvertes scientifiques !
Il existe déjà des lunettes permettant aux personnes dyslexiques de lire plus facilement. Mais elles sont moins adaptées à leurs besoins qu’une lampe. En effet, elles utilisent une technologie qui assombrit les verres pour aider à dissocier les lettres des mots. Mais cela pose plusieurs problèmes.
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Oui ! Il n’y a aucun risque à utiliser Lili car les crises d’épilepsie photosensible se déclenchent autour de 25 Hz. Pour notre lampe, le réglage minimum est de 60 Hz. On est très au-delà du seuil. Par ailleurs, on règle généralement la lampe autour de 75 et 90 Hz.
En ce qui concerne les maladies oculaires, il n’y a pas de risque non plus car Lili est juste une lampe, on ne rajoute rien aux lunettes ou lentilles qui puisse gêner ou perturber la vision.
Nous travaillons effectivement avec un réseau d'orthophonistes qui utilisent la lampe avec leur patientèle. Elle permet notamment d'aider les professionnels à poser des diagnostics sur d'éventuelles dyslexies.